« Le problème de cette révolte, c’est qu’elle n’a pas de tête », relève une source diplomatique. L’opposition est en effet disparate et divisée. Certains paraissent prêts à suivre le processus de transition douce souhaité par l’armée et les grandes puissances occidentales. D’autres le rejettent, notamment les « sans étiquette » de la « République de Tahrir », qui, eux, n’entendent pas en rester là.