En effet, le gouvernement algérien a conclu récemment un accord confiant la réalisation des passeports biométriques au français Oberthur. Ce qui, selon la Laddh, porte « gravement atteinte à la souveraineté nationale ».

Par conséquent, l’organisation de défense des droits humains demande au gouvernement de « stopper d’urgence cette procédure administrative » pour « réfléchir à la meilleure façon de concilier impératifs sécuritaires et policiers et respect des libertés individuelle des citoyens ».